samedi 31 mai 2014

Be Yourself, le self sain et bio

Hello les ptits loups ! Aujourd'hui, j'ai envie de vous parler d'un petit resto [fast-food] dont j'ai fait la connaissance il y a quelques semaines, en allant me balader à Lille avec mes copines, le Be Yourself :


► La philosophie du resto :


 « Be Yourself, c'est LE restaurant qui pense à vous. On y mange assis, debout, seul, accompagné, vite fait, en prenant son temps, en short ou sur son 31... On peut y exprimer sa personnalité mais surtout on y mange bien ! »





► Et concrètement, ça donne quoi ?

Je dois avouer que ce fut une agréable découverte, merci copine [elle se reconnaîtra :p] de me l'avoir fait découvrir. Mais alors, qu'est-ce que le Be Yourself ? Il s'agit d'un restaurant de restauration rapide, mais qui vous propose de chouettes petites choses à manger : des bagles, des salades à composer vous-mêmes, des pâtes, mais aussi des petits déjeuners, des brunchs et des goûters


Personnellement, j"y suis allée un midi et j'ai tout de suite été conquise par leur formule de menus. De 9,90€ à 10,50€, vous pouvez trouver LE menu qui vous convient, et qui comprend à chaque fois une boisson et un dessert. C'est juste tout bénéf pour un bon repas qui ne vous laissera pas sur votre faim. Vous pouvez choisir entre les pizzas, les salades, les bagles, vous avez les choix. Et croyez-moi, quand vous arrivez en face de la nourriture, nous ne savez pas quoi choisir. J'ai été conquise par les bagles. Un bagle welsh accompagné de rostis [petites galettes de pomme de terre] et une part de tarte crumble rhubarbe en dessert, avec un tonic comme boisson. Tout ça pour 10,50€, je n'ai pas été volée et j'ai très bien mangé. J'ai même été calée pour le reste de l'après-midi. Et je pense pouvoir parler au nom de mes amies en disant que nous avons toutes bien mangé. Voilà un exemple de ce que vous pouvez trouver sur votre plateau [photo trouvée sur le net, je n'avais pas fait de photo en allant y manger]


► Le choix du menu, comment ça se passe ? 

Vous choisissez votre type de menu, vous prenez votre boisson et votre dessert étiquetés "menu". Mais pour un petit supplément, vous pouvez choisir autre chose dans les frigos. Ce  n'est pas figé et c'est hyper sympa ! Les gens sont très accueillants également et n'hésitent pas à vous expliquer le fonctionnement du resto pour ceux qui y viennent pour la première fois. On vient même vous servir à table si votre repas est encore en cours de cuisson, vous n'avez donc pas à faire la file pour rien.

► Mon avis 

Je suis conquise. C'est tout à fait le genre de "fast-food" [sans la connotation péjorative et grasse qui va avec] que j'apprécie et dans lequel j'aime aller manger. J'y retournerai, c'est certain, pour goûter à leurs brunchs et à leurs autres menus. L'ambiance est agréable, conviviale, le cadre est sobre et épuré. Le Be Yourself est un resto qui a de l'avenir et qui risque bien de devenir l'un des plus branchés de Lille pour les jeunes qui en ont marre de manger des crasses et qui ont envie de bien manger, pour pas si cher. Je vous le conseille donc si vous allez faire un tour à Lille, ça en vaut la peine. Testé et approuvé !

Informations utiles 



Be Yourself, le site & Be Yourself, la page facebook





mardi 27 mai 2014

Les « quat'leines » de Violet

Petit article gourmandise pour ce soir, je vais vous donner la recette de mes « quat'leines » Petite contraction de quatre quarts et de madeleines, vous allez vite comprendre pourquoi =)


Pour réaliser ces « quat'leines », nous allons partir sur une recette de quatre quarts, au niveau des ingrédients en tout cas, un peu améliorée cependant. Vous aurez donc besoin de :
is
  • 250 grammes de farine
  • 230 grammes de sucre blanc
  • 30 grammes de sucre vanillé
  • 230 gramme de beurre
  • 4 œufs
  • 100 grammes de pépites de chocolat [facultatif]

Vous voyez donc qu'il ne s'agit pas d'une recette classique mais que j'ai adapté la recette à ma façon, après plusieurs tests. Maintenant, nous allons passer à la réalisation, qui se rapproche plus de la réalisation des madeleines que de celle du quatre quarts. Suivez bien bien toutes les étapes, c'est important ^^

  1. Commencez par préchauffer votre four [chaleur tournante] à 175° (th.entre 5 et 6)
  2. Mélangez votre sucre blanc et votre sucre vanillé
  3. Cassez vos œufs, battez-les bien, et commencez à les blanchir avec le sucre
  4. Faites fondre votre beurre et laissez-le refroidir
  5. Pendant que le beurre est en train de fondre et refroidir, vous allez devoir battre votre mélange œufs/sucre avec un batteur, pendant plusieurs minutes, pour que le mélange devienne bien blanc. Quand vous voyez que votre appareil blanchit bien, n'arrêtez pas, continuez à battre. N'arrêtez qu'une fois que vous voyez des petites bulles apparaître en surface, signe que le mélange commence à venir mousseux. C'est ce qui va donner de la légèreté à vos madeleines. C'est une étape qui est cruciale dans la préparation des madeleines, vous ne pouvez pas passer à côté. Et on voit vraiment la différence niveau légèreté
  6. Ajoutez votre beurre fondu et mélangez bien à l'aide d'une cuillère en bois
  7. Ajoutez ensuite votre farine, petit à petit, et continuez à mélanger, jusqu'à avoir une pâte totalement homogène
  8. Ajoutez vos pépites de chocolat si vous le désirez et mélangez bien encore une fois
  9. Beurrez légèrement vos moules [même s'ils sont en silicone, ça aide le démoulage à chaud ensuite] et remplissez aux 3/4 de pâte
  10. Baissez la température de votre four et enfournez vos madeleines pendant 15 minutes à 150° (th. 5)
  11. Pour vous assurer que vos madeleines sont bien cuites, piquez-les à l'aide d'un couteau ou d'un pique à brochette en fer
  12. Laissez refroidir sur une grille


Et voilà, vos petites « quat'leines» sont prêtes à êtres dégustées, pour le petit déjeuner ou avec le thé =) Suivra bientôt un article sur les madeleines salées !

Bonne dégustation les gourmands ♥


vendredi 23 mai 2014

Le Salad Bar, ou comment le fast-food peut devenir sain

Aujourd'hui, j'ai envie de vous parler d'un nouveau type de fast-food à la mode : le salad bar.

©Salad Story

Le salad bar, c'est quelque chose que l'on voit de plus en plus de nos jours, un concept « à la mode ». Parce que de plus en plus de gens sont lassés de manger gras et que la tendance du moment veut que l'on fasse attention à son alimentation et que l'on mange sain. Le créneau des salades était donc bien trouvé. Que les gens puissent venir composer leur propre salade sur le temps de midi, sans devoir aller la chercher au supermarché du coin ou sans devoir la préparer la veille pour manger quelque chose de sain et de frais au boulot. 

Le principe est relativement simple : on choisit une base de salade [ou encore de pâtes ou taboulé, c'est possible aussi], et on y ajoute les ingrédients que l'on veut pour se composer une bonne petite salade bien santé. Dernière étape, on choisit l'assaisonnement que l'on veut et hop, c'est terminé. En quelques minutes, vous avez votre petite salade perso, prête à emporter et à manger. Ce qui est bien, c'est ce que l'on choisit vraiment les aliments que l'on veut, du fromage en passant par les crudités ou les protéines [jambon en dés, des anchois, des œufs, des dés de poulet ou de volaille, ... ]. Tout est relativement simple, il suffit de combiner selon nos goûts et nos envies. Les assaisonnements sont aussi suffisamment larges pour varier nos salades : miel moutarde, huile d'olive, yaourt pour celles et ceux qui font attention à leur ligne, ... Finalement, aucune prise de tête.

Petit bémol : votre salade peut vite vous revenir assez cher. Etant donné que tous les aliments ont un prix, différent pour chaque, le montant s'élève assez vite. Un euro pour de la mozza, 0,5€ pour des tomates, rajoutez du parmesan à 2€ et d'autres petites choses, vous arrivez bien vite à une salade qui vous coûte entre 8 et 10€, qui peut même parfois aller jusque 12€. Mais qui ne vous revient finalement pas plus cher qu'une salade dans un restaurant. La question est donc de savoir si ça vaut vraiment la peine de payer aussi cher pour une salade alors que vous pouvez avoir un plat du jour en brasserie pour le même prix. Quoi que, vous ne payez pas beaucoup plus cher qu'un menu dans un fast-food classique [genre McDo ou Quick]. Tout dépend de votre budget et de votre envie du moment


©Salad Story

Personnellement, j'aime bien, mais pas tous les jours. C'est un concept qui est pas mal et qui permet de manger assez sainement sur le temps de midi. Fini les sandwiches bien gras, bonjour les salades. Je ne mange pas tous les jours au Salad Bar mais j'y vais bien une à deux fois par semaine, en tentant de varier un maximum, surtout quand il fait chaud et que j'ai envie de manger quelque chose de frais.Mais le prix est un peu rebutant quand même. Et au bout d'un moment, on finit par avoir fait le tour de tous les accompagnements et des assaisonnements.  J'aime autant aller chercher une petite salade spéciale à la sandwicherie, qui sont aussi délicieuses et plus variées, mais peut-être un peu plus grasses. Mais une fois de temps en temps, c'est pas mal et ça permet un repas léger. Surtout si vous avez prévu un resto le soir.  En choisissant bien ses aliments, on peut se faire un repas qui cale bien et faible en calories, qui permet de faire un excès par la suite. Donc si vous n'avez pas encore testé, c'est l'occasion !

vendredi 16 mai 2014

Ma vie de régimeuse



Image sans doute pas flatteuse mais qui révèle celle que je suis depuis de nombreuses années. Une fille constamment au régime et qui fait attention à l'image que les autres ont d'elle. Parce que depuis toute petite, on m'a qualifiée de surnoms pas sympas : la baleine, la grosse vache, ... Alors que je n'étais pas grosse, j'avais juste quelques kilos en trop. Mais on sait tous que les enfants sont méchants. Mais c'est quelque chose qui m'a marquée. Petite, à la maternelle, j'étais presque squelettique, je mangeais peu, mais à ma faim, c'était comme ça. Ça a changé avec la poussée de croissance. Contre ça, je ne pouvais rien faire parce que je n'étais pas du genre à manger plein de crasses à la maison. Surtout que je faisais pas mal de sport : de la danse, de la gym, de la natation. Entre 3 et 6 heures de sport par semaine, ce qui n'était quand même pas rien. A l'adolescence, je me suis affinée. J'ai grandi, je n'ai plus vraiment pris de poids. J'étais bien. Les remarques ont d'ailleurs commencé à s'espacer, et vers mes 16-17 ans, je me trouvais jolie. Oui, j'étais bien, et il m'arrive encore de regretter cette époque.

J'ai commencé à regrossir avec l'entrée à l'unif.  J'ai commencé à voir une diététicienne, qui m'a frustrée et que je n'ai plus voulu aller consulter. Exemple : consultation le jour de mon anniversaire. Au lieu de me souhaiter bon anniversaire, la charmante diététicienne me fait simplement remarquer que même si c'est mon anniversaire, faut faire une croix sur le gâteau parce que c'est bourré de calories. C'était le jour de mes 19 ans. Depuis ce jour, j'ai refusé d'y remettre les pieds. Chez plus aucune diététicienne d'ailleurs. J'avais perdu du poids, j'en ai repris. Je ne me sentais pas bien dans ma peau, j'essayais de perdre du poids mais je jouais au yoyo. Je faisais un peu de sport mais pas assez. Pas la motivation, la solitude ne m'aidait pas non plus à me motiver. Je n'avais pas la volonté de me bouger, il faut bien l'avouer.

A la fin de mes études, je suis tombée malade. Une maladie d'on ne sait où, qui m'est tombée dessus du jour au lendemain. Je n'arrivais plus à manger quoi que ce soit, l'odeur de la nourriture me rendait malade, je fuyais la cuisine, je mangeais à peine une cuillère de pâtes par jour. J'ai perdu du poids. Rapidement. Que j'ai repris quand j'ai commencé à aller mieux, quelques mois plus tard. J'ai à nouveau perdu du poids après pour le reprendre. Comme si ma vie était destinée à jouer au yoyo. Finalement, je n'avais plus la volonté de me battre. De toute façon, je ne plaisais à personne, mon dernier copain m'avait laissé tomber parce que je ne lui plaisais plus physiquement [alors que je n'avais pas pris des masses de poids entre le début de notre rencontre et notre rupture... Mais je n'étais sans doute pas assez bien pour lui. Bref.] Le décès de mon père ne m'a pas aidée non plus, c'est aussi une période pendant laquelle mon poids a joué au yoyo

Je n'ai jamais été du genre à manger des masses de crasses, à me goinfrer de burger, de friteries, de manger des plaquettes entières de chocolat ou des paquets de biscuits. Oui, j'aime le sucré, mais à petites doses. J'ai toujours été comme ça. Ce qui m'a fait un électrochoc, c'est une anesthésiste, un jour, alors que j'allais pour une petite opération de rien du tout. Qui m'a fait comprendre que je n'étais qu'une grosse fade incapable de bouger son cul et sans aucune volonté pour perdre du poids. J'avais beau lui dire que je mangeais sain [ce qui était vrai], pas salé, pas de chips, pas de saloperies, et que je m'accordais juste comme petit plaisir de manger un carré de chocolat le soir, je n'étais apparemment à ses yeux qu'une boule de gras. Elle m'a même répondu que je devais bannir le chocolat de mon alimentation. Et que je mangeais trop de fruits. Bref, elle me voyais comme une fille en surpoids qui se complaisait dans son obésité et qui ne faisait rien pour perdre, passant ses journées dans son canapé à se goinfrer. Le genre de personne que je ne suis pas du tout.

Cet épisode m'a blessée, énormément. M'a donné envie de prouver que j'étais capable de perdre du poids. De vraiment perdre. Et de devenir une jour une fille qu'on aurait envie de regarder, de fréquenter, tout simplement.  Je voulais me prouver à moi-même que j'étais capable d'y arriver. Je n'ai jamais eu confiance en moi parce que je m'en suis toujours pris plein la figure pour ces quelques kilos en trop. Ces gens qui ont réussi à me démolir. Je ne me trouve pas jolie et je ne me trouverai sans doute jamais jolie. Et sans doute jamais assez mince pour plaire à qui que ce soit. Mais je veux perdre du poids. Alors j'ai recommencé un régime. Weight Watchers d'abord, qui a bien fonctionné. J'ai perdu 6 kilos. J'étais contente. J'avais recommencé le sport aussi, mais j'ai repris 4 des 6 kilos que j'avais perdus. Sans trop savoir pourquoi, sans faire trop d'excès. J'en avais marre, plus que marre. Marre des régimes. Envie de baisser les bras. De toute façon, je savais que je finirais quand même seule dans mon coin, donc à quoi bon chercher à plaire ? Malgré tout, une autre partie de moi ne voulait pas baisser les bras. Je continuais le sport, je prenais plaisir à faire du sport. J'allais à la salle plusieurs fois par semaine, je me sentais bien.

Le 1er janvier 2014, comme chaque année, j'ai pris une bonne résolution. Parce que 2014 serait l'année du changement. Je me rapproche de la trentaine, je voulais devenir une autre femme. Pour au moins me sentir mieux dans ma peau. J'ai décidé de me reprendre en main. De refaire attention. J'ai recommencé Weight Watchers, où j'ai reperdu un peu de poids. Mais vraiment pas beaucoup. Un peu comme si mon corps en avait marre de tous ces régimes et qu'il n'avait plus envie de perdre. Je continuais le sport, encore et encore. J'ai créé ma page facebook, pour me motiver, où je postais tout ce que je mangeais et ce que  je faisais comme sport. Où mes amis me soutenaient. Et ça, c'était une vraie motivation. Puis j'ai entendu parler d'une application qui s'appelle Le Secret du Poids. Et j'ai décidé de l'essayer. Je n'avais plus rien à perdre de toute façon. Un peu sur le principe de WW, il suffisait de compter ses calories. Mon corps a mis du temps à s'habituer, je n'ai rien perdu les trois premières semaines. Du moins, je le pensais. Je ne perdais pas vraiment en poids mais je perdais en graisse. Parce que je continuais le sport en parallèle, plusieurs fois par semaine, mais aussi tous les jours chez moi. Abdos, squats, pompes rythmaient mon quotidien. Il m'a fallu prendre mes mensurations pour m'en rendre compte

Aujourd'hui, cela fait trois mois et demi que j'ai commencé cette application, j'ai perdu 4 kilos et une taille de vêtement. Je suis passée d'une taille 44 à une taille 42. Ce qui est pour moi un succès énorme que je n'aurais jamais pensé possible. Je continue mes exercices, parce qu'ils font désormais partie de mon quotidien. On commence d'ailleurs à voir la ligne de mes abdos se dessiner sur le haut de mon ventre, ça me motive encore plus =) Je n'ai plus envie de baisser les bras, j'ai envie d'arriver à mon objectif parce que je suis persuadée que je peux y arriver. Parce que même si je ne perds pas tout en poids, je sculpte mon corps, ma silhouette se redressine. Je commence à mieux m'apprécier dans le miroir. 

Il m'aura fallu du temps pour arriver là où je suis, mais je sais que je ne suis qu'au début. Que le processus sera lent mais qu'il en vaut la peine. Je ne veux plus perdre 10 kilos en en mois. J'avais 15 kilos à perdre, que je voulais perdre à long terme. Sur un an, j'en ai déjà perdu 7, il m'en reste ici encore 8 à 9 à perdre, je compte les perdre d'ici un an, tant mieux si je les perds avant. Mais je ne forcerai pas les choses. J'aurai au moins appris une leçon : il faut rester à l'écouter de son corps et ne pas le brusquer

mercredi 14 mai 2014

Pourquoi les œufs de Pâques sont-ils si difficiles à déballer ?

Question existentielle du jour : pourquoi les œufs de Pâques sont-ils si difficiles à déballer ?

Pâques est passé depuis un mois, c'est vrai. Mais depuis un mois, plein de petits œufs traînent encore partout dans mon frigo. Oui, je mets mets mon chocolat dans le frigo, et alors ?  :D  Là n'est pas la question. Ma question, c'est : pourquoi ces œufs sont-ils si difficiles à déballer ?  >.<



Ils sont beaux ces œufs, ils sont bons aussi, mais il faut bien avouer que c'est la galère pour les déballer. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? Pourquoi ne pas faire une petite ouverture facile comme pour les chokobons ? On tire des deux côtés, on déballe et hop, on mange le chocolat, c'est si facile. Mais non. Tu dois trouver le petit endroit qui te permettra de déballer correctement ton œuf sans mettre de l'aluminium partout. Sinon, t'es un peu obligé(e) de le faire à l'arrache, et là c'est un peu clair que tu en fous partout. Et manger de l'alu, on sait tous que c'est pas très bon

Seconde question existentielle : pourquoi emballer les œufs dans de l'alu ?

On sait tous que l'aluminium, c'est pas très bon. Et vu la façon dont les œufs en chocolat sont bien emballés, il y a toujours le risque d'en oublier un petit bout. Donc pourquoi est-ce qu'ils continuent à les emballer comme ça ? Et finalement, ça vaut pour presque toutes les marques et pour tous les chocolats. Est-ce parce que ça conserve mieux comme ça ?  Personnellement, je n'en ai aucune idée, et peut-être que ça devrait faire l'objet d'une recherche plus approfondie.


Bon, je crois que les œufs de Pâques me sont un peu beaucoup montés à la tête, mais je vous assure que je n'abuse même pas ! En tout cas, si vous avez des réponses à mes questions, vous êtes les bienvenus =D N'hésitez pas, je ne mords pas, juste ce qui est en chocolat xD

mardi 13 mai 2014

Cake au chocolat ultra facile et moelleux

Aujourd'hui, je vais vous faire part d'une recette ultra facile d'un cake au chocolat moelleux, qui ravira les plus petits comme les plus grands !



Pour ce cake ultra moelleux, vous aurez besoin de :
  • 150 gr de chocolat [noir ou praliné, comme vous préférez]
  • 70gr de sucre
  • 60gr de farine
  • 60gr de beurre
  • 3 oeufs
Avant de commencer, vous pouvez déjà préchauffer votre four à 150°. Votre four peut tourner quelques minutes sans souci, et ça sera beaucoup plus facile pour la cuisson du cake par la suite :)
  • Tout d'abord, faites fondre votre beurre à feu doux. Une fois que votre beurre est fondu, ajoutez-y le chocolat et mélangez jusqu'à ce qu'il soit bien incorporé au beurre. Le mélange bien fondu, mettez hors du feu
  • Dans un saladier, cassez vos œufs et battez-les un peu. Une fois les œufs bien battus, ajoutez-y le sucre et continuez de mélanger jusqu'à ce que votre appareil blanchisse
  • Une fois que votre mélange œufs/sucre est fait, ajoutez progressivement votre mélange chocolat/beurre et mélangez bien, surtout si c'est encore un peu chaud
  • Mélangez bien votre préparation et ajoutez progressivement la farine. Mélangez bien à chaque fois pour éviter les grumeaux
  • Beurrez ou farinez votre moule à cake
  • Versez votre préparation dans votre moule
  • Enfournez votre cake pendant 40 à 45 minutes à 150°*
  • Laissez refroidir un peu avant de démouler et déguster :)

* = Personnellement, je le laisse 40 minutes et je le pique en son cœur pour vérifier la cuisson. Si la pâte colle encore un peu, je le remets quelques minutes. Mais toujours à 150°

Bon appétit =)

Qui suis-je ?

Bonjour à tous et bienvenue sur mon blog ! 

Il me semble important de commencer par me présenter, parce que nous allons faire un bout de chemin ensemble. Comment ça, pas du tout ? Ben tant pis, je le fais quand même

Je m'appelle Elodie, j'ai 28 ans et je suis Belge. Née dans une jolie petite ville que l'on appelle Chimay, connue pour sa bière. J'ai ensuite déménagé pour passer mon enfance dans un petit village calme du Hainaut, dans lequel j'ai passé une enfance calme. Bonne élève, très vite passionnée par la lecture et l'écriture. Je me suis très vite mise à écrire. Un petit cahier que je transportais partout avec moi et dans lequel j'écrivais de petites histoires. Des livres qui me suivaient partout aussi, je lisais tout le temps, j'achetais des livres tout le temps aussi. 

Depuis toute petite aussi, j'ai su que je voulais être journaliste. Pourquoi, je n'en sais rien, j'ai juste toujours su que c'était ça que je voulais faire. Je ne suis pas passée par la phase vétérinaire, archéologue ou autre, je voulais être journaliste. Ou actrice. Mais journaliste d'abord. Je n'ai jamais changé de voie, je suis toujours restée dans cette optique et j'ai décidé d'en faire mes études. Pendant mes études secondes, j'ai pourtant pris une autre filiale, j'ai décidé de faire les maths-sciences. Drôle de parcours, mais je ne le regrette pas, au contraire. Parce que j'avais beau adorer la littérature et l'écriture, j'aimais aussi les maths et ça m'a bien servi plus tard. Et en parallèle, j'ai suivi un cursus de 8 ans en Arts de la Parole.

Je suis rentrée à l'université un peu avant mes 18 ans et directement en Information et Communication, avec un parcours un peu chaotique. J'ai réussi ma première année, raté la seconde parce qu'il me manquait juste un demi point pour avec mes 60%... Oui oui, ils n'ont pas été très cool pour le coup. Mais cette année foirée m'a permis de passer dans un autre système, qui m'a permis de suivre des études de crimino en parallèle de mes études de comm'. C'est ce qu'on appelle le principe des mineures. Et j'ai beaucoup aimé, même si ce n'était pas facile tous les jours. J'ai beaucoup aimé le cours de sciences bio-médicales, par exemple, données par un médecin légistes. Et d'autres cours qui m'ont donné l'envie de continuer. Au moment de choisir mon master, j'ai d'ailleurs hésité. Mais j'ai fini par choisir le journalisme.

Deux ans de master en journalisme pendant lesquels j'ai fait de très belles rencontres et de chouettes expériences. Deux années qui m'ont confortée dans l'idée que c'était ça que je voulais faire. Deux années pendant lesquelles je n'ai pas eu de vie sociale si ce n'était les autres étudiants en journalisme, mais on s'est quand même bien amusés. Je ne regrette absolument rien.

Sortie des études, je me suis pris quelques mois de vacances bien mérités. Puis je suis tombée malade. Plusieurs mois pendant lesquels j'ai été incapable de manger quoi que ce soit, je ne bougeais presque plus de mon lit, les médecins n'arrivaient pas à trouver ce que j'avais. Une patiente digne de Dr House ! Une maladie qui a fini par s'en aller toute seule, comme elle était venue, sans vraiment comprendre. Quelques mois plus tard, je décrochais des piges dans une radio, en tant qu'assistante d'antenne. Chargée de la préparation des journaux nationaux. C'était il y a deux ans et demi. Aujourd'hui, j'y suis toujours, le CDI bientôt en poche, normalement, avec de belles possibilités d'évolution